Cet opuscule, d’une lecture facile, se présente comme une interview ; il compte autant de chapitres que de mois dans l’année, les huit premiers couvrant le Testament judaïque et les quatre derniers celui ajouté par le christianisme. Le théologien catholique interrogé souligne en prologue que la violence se rencontre partout dans ces textes, jusqu’à Jésus fouettant les changeurs du Temple ; il évoque même une centaine de passages où c’est Yahvé lui-même qui pousse son peuple au massacre. Mais il ajoute que « la Bible n’a besoin ni d’avocat, ni de plaidoyer ».
Un ouvrage de Philippe Abadie
Note de lecture